Affiches, design d’espaces d’exposition ou de sensibilisation, édition, identité visuelle, web, motion design… l’atelier aborde tous les médias avec joie et rigueur.
L’atelier accompagne également ses commanditaires par le conseil en stratégie de communication, le media-planning, le conseil éditorial, et la conception-rédaction.
Ses domaines de prédilection sont l’édition, la culture, et l’intérêt public (collectivités territoriales et associations).
Valérie Voyer, qui dirige cet atelier, est graphiste (print, web et motion-design), typographe, illustratrice et directrice artistique de formation.
Elle accompagne les collectivités et établissements publics sur leur stratégie de communication, leur plan média et leur ligne éditoriale.
Marion Chabaud est une directrice artistique de grand talent. Elle apporte à l’atelier un œil neuf et malicieux et de nouvelles directions à l’équipe, en print et web.
L’équipage est au cœur d’un réseau de compétences complémentaires : scénographie, développement web, production, motion-design, rédaction, etc. – sont des champs où il est comme un poisson dans l’eau, grâce à ces talents fidèles.
L’objet de l’atelier est de produire des signes pour le plus grand nombre, avec le plus grand soin.
Il traduit en images les mots des autres : à chaque parole son message et son ton, à chaque parole une forme visuelle spécifique, dont la beauté est sa justesse. Il produit donc un graphisme d’auteur… sans écriture particulière.
Tout au plus peut-on affirmer que l’atelier pratique un graphisme Pop et exigeant, dont la qualité n’est issue d’aucun code excluant, mais d’une intelligence poétique commune à tous.
Commissariat de l’exposition : Valérie Voyer (atelier Le PasQueBeau)
Avec : Malte Martin, Melody Lu, Thomas Brosset, Helmo et l’atelier Le PasQueBeau.
Pendant l’exposition : visites commentées, rencontres, ateliers, et conférence (Bibliothèque Forney, Paris).
Valérie Voyer (Le PasQueBeau), commissaire de l’exposition.
Le duo de graphistes HELMO.
Thomas Brosset, graphiste et illustrateur.
Malte Martin, graphiste et plasticien.
Exposition dédiée à la création typographique contemporaine.
Carte blanche laissée à l’atelier pour une exposition rétrospective sur son travail, sur les 250 m2 du lieu.
Pendant l’exposition : tables-rondes, conférences, visites commentées, ateliers 11-14 ans en complicité avec les centres de loisir de la Ville (création d’un livre collectif, initiation à la narration visuelle, illustration).
Deux ateliers à l’occasion du week-end d’ouverture 2021/22 de l’EPCC L’Astrada Marciac.
Conférence au sein du cycle « Acteurs et actrices de la création graphique contemporaine » (Michel Bouvet, Michel Quarez, Laurent Ungerer, François Avril, Gérard Paris-Clavel, Philippe Apeloig, Pierre Di Sciullo, Cathrine Zask, etc.)
Partenariat avec le Centre Tignous d’Art contemporain (Montreuil) et le réseau des bibliothèques de la Ville de Paris.
Avertissement : cette conférence s’est déroulée au tout début du premier confinement, pendant la pandémie. Les conditions de captation en furent bouleversées.
Nous vous présentons ici une version améliorée, dans la mesure du possible.
Rencontre initiée par le Bureau des élèves de l’école des Gobelins, sur le thème « Des femmes et des figures ».
Pédagogie sur le travail mené avec l’Astrada et les différents acteurs locaux.
Les participants tirent au sort :
Le design du mot doit refléter l’émotion – quand bien même ceux-ci seraient contraires.
Création d’affiches sur un personnage ou un proche que l’on aime ou admire. Travail sur la synthèse visuelle, et la tension entre plusieurs caractéristiques.
Atelier inspiré du workshop du célèbre graphiste Bruno Munari.
Après une séance de dessin d’observation, créer un arbre qui reflète une émotion, préalablement tirée au sort.
Lecture et découpage du texte, création d’un chemin de fer, esquisses et recherches de stylisation, illustrations et réflexion sur la mise en page.
Ce site est constitué du point de vue de la création, selon un seul critère : ce projet est-il pertinent à montrer d’un point de vue esthétique, intellectuel ou social ?
Ainsi, en effet :
• Non, les travaux ne sont pas datés, sachant que pour nombre d’entre eux la date figure dans l’image elle-même,
• Oui, en effet, certains travaux non pas été in fine commandés (appel d’offre non remportés, abandons de projet, etc.) Il y en a 4 sur plus de 80 projets montrés à ce jour. Et pour cause : un travail n’est-il attrayant que parce qu’il a été validé par un tiers ? N’est il pas plus intéressant de se soucier d’une démarche, une recherche élaborée depuis plus de 20 ans ?
Une interrogation cependant, puisqu’on se penche sur l’histoire du graphisme : comment se fait il, alors que les classes de graphisme sont composées de 60% de femmes minimum, que si peu soient représentées dans les concours ? Je parle de femmes « seules » : non incluses dans un collectif ou atelier majoritairement masculin, non muse, mélusine ou femme d’un graphiste plus reconnu. Comment se fait-il que des Histoires du graphisme osent encore être éditées en 2022 avec moins de 10% de femmes représentées ? Où disparaissent ces générations de jeunes femmes, plus talentueuses les unes que les autres ?
Voilà une question qui mérite d’être soulevée.
À bon entendeur.